SCFP 1878
Informer, défendre, mobiliser
Chers membres,
C’est aujourd’hui vendredi 28 octobre que le Front commun procède au dépôt des demandes syndicales à Québec.
Des événements sur la Colline parlementaire sont prévus à cette occasion.
On ne sait pas encore ce que tout cela va donner, mais c’est à suivre.
Votre exécutif
Chers membres,
Au moment d’écrire ces lignes, le solde de notre PDRH s’élève à plus de 56 000 $, et celui dédié au « Développement de la pratique professionnelle » (DPP), à plus de 6 000 $.
Il s’agit-là de deux budgets dans lesquels vous pouvez puiser pour financer en tout ou en partie l’inscription à un colloque, la participation à une formation, l’achat d’un livre de référence, l’abonnement à une revue scientifique, etc.
En gros, il faut savoir que les formations subventionnées par le PDRH se déroulent pendant vos heures de travail et couvrent le coût de l’activité, les frais de déplacement et votre salaire, alors que les activités subventionnées par le DPP se déroulent en dehors de vos heures de travail, et qu’une dépense DPP ne couvre donc que le coût du matériel ou de l’activité proprement dite.
Vous pouvez faire plusieurs demandes PDRH ou DPP, mais une seule réclamation de remboursement DPP par année financière. Vous avez la liberté de déposer une demande DPP conjointe en vous unissant à d’autres collègues. Il n’y a pas de plafond PDRH officiel, mais pour l’année 2022-2023 un plafond DPP a été fixé à 300 $ par personne.
Qu’il s’agisse d’une demande PDRH ou DPP, la marche à suivre reste la même : 1) envoyer un formulaire de demande à votre supérieur immédiat et attendre le courriel d’approbation finale de la DRHCAJ ; 2) faire la dépense, conserver vos factures et participer à l’activité prévue ; 3) utiliser Virtuo pour faire votre demande de remboursement.
Le PDRH et le DPP sont deux budgets séparés et récurrents. Les règles de fonctionnement propres à l’un et à l’autre ont leurs subtilités, mais vos gestionnaires et les membres de votre exécutif sont là pour vous aider dans vos démarches.
En pièces jointes, vous trouverez les formulaires de demande à utiliser, ainsi que le texte de nos « Arrangements locaux » sur le DPP.
Votre exécutif :
Chers membres,
Nous avons des raisons de penser que les titres d’emploi de SOM et de SRDV n’ont pas été évalués à leur juste valeur à leur création, et nous sommes en démarche à ce sujet depuis plusieurs années. Voici les faits saillants.
Des plaintes syndicales APTS, CSN et SCFP, ainsi que des plaintes individuelles de SOM et de SRDV ont été déposées aux exercices d’Équité salariale qui se sont succédés aux 5 ans depuis 2010.
Essentiellement, ces plaintes visent à dénoncer la méthodologie utilisée au moment de procéder à l’évaluation initiale de titres d’emploi de SOM et de SRDV, et à faire reconnaître qu’ils ont évolué de manière significative au fil des ans.
Aucune de ces plaintes n’est actuellement réglée, mais nous avons appris que plusieurs collègues de divers CISSS ont récemment été entendus en entrevue officielle par les autorités compétentes. On peut dire que les affaires bougent de manière sérieuse pour la première fois depuis plus de 10 ans.
Chemin faisant, l’APTS, la CSN et le SCFP ont intenté deux recours. Le premier vise à faire reconnaître que le D.E.S.S. aurait dû avoir le poids d’un « cours universitaire de 2e cycle » à l’évaluation des emplois, et non de 1er cycle ; et le deuxième, que c’est une « Maîtrise en science de la vision » qui correspond au diplôme requis à l’obtention du titre d’emploi de SOM ou de SRDV, et non plus un D.E.S.S. comme il est écrit dans la Nomenclature.
En précisant que le D.E.S.S. ne sera « jamais plus offert » au moment d’être contacté par le Secrétariat du conseil du trésor pour valider nos prétentions, les responsables de l’École d’optométrie ont levé le dernier obstacle au processus de révision de la Nomenclature. Et c’est majeur.
Car en remplaçant « D.E.S.S. » par « Maîtrise en science de la vision » dans cet important texte de loi, un processus de réévaluation d’emploi sera automatiquement enclenché. Processus au terme duquel les SRDV pourraient atteindre les 785 points requis pour passer au rangement 22. Nous disons « pourraient », car pour les SOM, qui sont à 770 points, les 18 points liés à la reconnaissance de la Maîtrise seront suffisants, alors que pour les SRDV, à 764 points, non, mais il y a un espoir fondé d’aller chercher les 3 points manquants ailleurs.
Lorsque tout sera réglé ou en voie de l’être, il restera à établir jusqu’où faire remonter la rétroactivité salariale. Un an ou deux ? Davantage ? Rien du tout ? Une chose est sûre : plus on voudra remonter loin, plus ce sera difficile à gagner.
Plaintes, poids du D.E.S.S., reconnaissance de la Maîtrise, modification à la Nomenclature, réévaluation des emplois et rétroactivité salariale, tout est interrelié. Ayant appris que la Nomenclature sera bientôt corrigée comme demandé, tous les espoirs sont permis.
Votre exécutif
Chers membres,
Vous avez droit à 4 heures consécutives, et non 3 comme mentionné dans notre courriel précédent.
Et pour avoir ces 4 heures, si votre horaire ne vous les offre pas déjà, vous devez préalablement vous entendre avec l’Employeur.
Or l’Employeur sera dans son droit de vous demander de commencer plus tôt et de finir plus tôt cette journée-là.
Exemple : lundi 3 octobre, vous travaillez de 09:00 à 17:00, et les bureaux de vote ferment à 20:00. Si vous demandez de finir à 16:00 de manière à avoir 4 heures consécutives pour aller voter, l’Employeur va vous répondre oui, mais il vous demandera de commencer à 08:00 et il sera dans son droit.
En somme, il aurait fallu se fier au site d’Élections Québec pour avoir toutes les informations correctes du premier coup.
Votre exécutif
Chers membres,
Le 3 octobre 2022, les bureaux de vote sont ouverts de 9:30 à 20:00 partout au Québec.
Que vous soyez en télétravail ou chez des clients, la loi oblige l’Employeur à vous accorder 3 heures consécutives pour aller voter ; et ce, sans perte de salaire (source : Éducaloi ).
Ceux d’entre vous qui finissent plus tard que 17:00 pourront finir à 17:00, et être payés comme s’ils finissaient à l’heure habituelle.
Les 4 collègues qui sont dans cette situation seront contactés individuellement afin de les en informer.
Votre exécutif
Chers membres,
En arrivant sur Virtuo on peut lire « Affichage en cours : FIQ, CSN et APTS ».
Ce à quoi il faut ajouter qu’en vertu de l’Entente passerelle les SOM et SRDV des équipes Montréal/Laval et Surdicécité peuvent poser leur candidature et faire reconnaître leur ancienneté lorsqu’il s’agit d’un poste de SOM ou de SRDV affiché à Longueuil.
Avis aux intéressés.
Votre exécutif
Chers membres,
Nous versons environ 10 % de nos revenus bruts à notre fonds de pension. Et ce, à chaque paie. Mais au bout du compte, combien ça vaut ?
En examinant attentivement votre « Relevé de participation », vous allez savoir à combien s’élèvent vos cotisations, ainsi que les intérêts qu’elles vous ont rapportées.
Mais vous ne saurez rien des cotisations et intérêts de l’employeur ni de la juste part d’impôt à payer si vous convertissez le tout en CRI ou FRV.
Seul un actuaire pourrait savoir. Alors, combien ça vaut ? Quatre cents mille ? Six cents mille ? Un million ?
D’un point de vue pratico-pratique, le RREGOP vaut le flux d’argent qu’il est capable de générer chaque mois, depuis le jour de votre retraite jusqu’à votre mort.
De l’argent sûr. Et un montant partiellement indexé au coût de la vie au 1er janvier de chaque année. Autrement dit, ça vaut cher. Très cher.
Calcul rapide : supposons un salaire moyen des 5 dernières années de 75 000 $. Après 30 ans de service, la rente RREGOP s’élève à 45 000 $ brut par année.
Sachant qu’il faut cumuler environ 25 fois un montant pour être capable d’en tirer un revenu annuel équivalent sans épuiser le capital, ça revient à dire que ce RREGOP vaut un peu plus de 1 000 000 $.
Vous ne pourrez pas dépenser ce million, mais vous serez bel et bien détenteur d’un actif qui vaut 1 million. Et c’est ça, être millionnaire.